Je reprends un article qui nous est consacré. Celui-ci est publié par le magazine gratuit Sept Jours à Brest.
L'article est aussi lisible directement sur le site. Je tenais à préciser que nous ne sommes affiliés à aucun club et que nous prônons une pratique autonome et responsable loin de toute aliénation payante.
L'article est aussi lisible directement sur le site. Je tenais à préciser que nous ne sommes affiliés à aucun club et que nous prônons une pratique autonome et responsable loin de toute aliénation payante.
--------------
Passe-partout, facile à manier, pas trop
cher... Le kayak de mer a des atouts de son côté. Et les passionnés
l'assurent : Brest est l'endroit rêvé pour en faire. Pourquoi pas vous ?
Les Inuits s’en servaient pour chasser et pêcher le long des côtes de
l’Arctique et de l’Atlantique nord. 4.000 ans plus tard, le kayak de
mer n’a toujours pas trouvé sa place dans le grenier. Mieux, depuis dix
ans, il est en pleine bourre sur les côtes françaises.
Mais plus dans une optique loisirs désormais. Genre bien calé dans
l’embarcation, le nez en l’air à profiter du paysage tout en pagayant de
temps en temps, histoire d’avancer tout de même.
Brest, La Mecque du kayak
La pointe nord-finistérienne est l’endroit rêvé pour ce genre de
balade. «En gros, il y a la mer d’Iroise, l’Écosse, très jolie aussi, et
puis le reste du monde», sourit Jean-Luc Bellieud, qui fait partie d’un
groupe de kayakistes aguerris de Brest et sa région (notre photo).
C’est qu’ici, il y en a pour tous les niveaux. «La rade sera le
terrain de jeu parfait des débutants. Les Abers ne sont pas mal non plus
pour commencer. On y est à l’abri du vent dans un coin sauvage avec
plein de choses à voir». Les plus expérimentés iront plus s’amuser le
long des côtes de Lampaul-Plouarzel ou «jouer dans les vagues qui se
créent lors des marées. Du côté de la pointe de Kermorvan par exemple».
Et comment ne pas citer Ouessant et l’archipel de Molène ? «Ça nous
arrive d’y aller, reprend Jean-Luc Bellieud. Quitte à partir sur deux
jours et bivouaquer sur une île».
Ne pas partir la fleur au fusil
Voilà pour le cadre, mais attention à ne pas s’emballer trop vite.
C’est tout le paradoxe du kayak de mer. «Quel que soit son niveau, c’est
très facile de se faire plaisir.» Mais de là à partir en rando la fleur
au fusil… «Non, il y a tout un ensemble de règles de sécurité à
respecter, d’équipements à avoir, d’outils à connaître».
Justement, c’est le moment de s’y mettre. Depuis la semaine dernière,.etc...........................................
A consulter aussi, les sites internet
Navikayak (création de cartes marines en papier résistant à l’eau, activité lancée par Jean-Luc Bellieud)
Kayak-univers
et le site des Pagayeurs Marins
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire